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Photo du rédacteurElie Guidi

Le Keidanren s'inquiète de la décision rendu par la Cour suprême sud-coréenne

Dernière mise à jour : 10 nov. 2018


La détérioration des relations diplomatiques nippo-sud-coréennes devrait peser sur leurs relations économiques.

Hiroaki Nakanishi, en 2015 à Newton Aycliffe (Royaume-Uni)

Après que la Cour suprême sud-coréenne ait ordonné à deux géants japonais de l’acier de dédommager des travailleurs forcés de la Seconde Guerre mondiale, Hiroaki Nakanishi, président de la Fédération des organisations économiques japonaises -- plus couramment appelée Keidanren -- a déclaré mardi 30 octobre à Kanazawa (Ishikawa) être inquiet des effets de cette décision sur les relations économiques avec la Corée du Sud.


La décision rendue mardi par la plus haute juridiction sud-coréenne fait suite à un dernier appel de Nippon Steel & Sunitomo Metal (NSSM) contre le montant des dédommagements. NSSM a déploré un jugement « profondément regrettable ». Le groupe va « l’étudier avec soin en vue des prochaines étapes, qui tiendront compte de la réaction du gouvernement japonais sur cette question et d’autres facteurs ».


NSSM est accusé par quatre Sud-Coréens – dont un seul est encore en vie – de les avoir contraints à travailler dans ses aciéries entre 1941 et 1943. La plus haute juridiction sud-coréenne confirme un jugement en première instance attribuant à chaque victime 100 millions de wons de dédommagements (77 000 euros).



Sources : TBS, FNN

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